• Fil d'actualités

    Conférence 9 mars 2022

    L’Académie de la Val d’Isère vous invite à sa prochaine conférence le mercredi 9 mars à 18h30 : À (re)découvrir, ces petits bâtis ruraux qui ont disparu, qui restent, qui disparaissent encore ou se transforment dans nos paysages : les GRENIERS isolés, ceux de Tarentaise, ceux de Savoie ou d’ailleurs, par Pierre Barrioz. Qu’ont-ils encore à montrer ? Que peuvent-ils encore nous dire ? Illustration :  Un grenier en hiver, par Céline Barrioz Maeckelberghe d’après Christian Burdet.

  • Fil d'actualités

    Conférence Février 2022 – Revue de presse

    Affiche de l’Académie La conférence annoncée sur le site de l’association Histoire et Mémoires Militaires Alpines. Dauphiné Libéré, 13 février 2022 Tarentaise Hebdo, 17 février 2022 Pour aller plus loin, téléchargez l’article de Vincent Arpin, Adaptations formelles et ressources matérielles dans les fortifications de la vallée de la Tarentaise 1888-1913,  Paris : Éditions du Comité des travaux historiques et scientifiques, 2019 (généré le 01 octobre 2019). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/cths/5943>. ISBN : 9782735508914.

  • Fil d'actualités

    Conférence du 9 février 2022

    L’Académie de la Val d’Isère vous invite à sa prochaine conférence. Le mercredi 9 février 2022, à 18h30, Vincent Arpin présentera « Les travaux militaires en Tarentaise (1890-1914) : adaptations, innovations et transformations ». La fortification de la montagne est souvent analysée en fonction de la stratégie militaire qui la justifie. Or, fortifier la montagne, c’est avant tout fortifier  en montagne ; tenir compte de ses spécificités et de ses difficultés propres.  L’exemple de la fortification de la Tarentaise, étudié ici entre 1888 et 1913, montre bien l’impact qu’a ce milieu naturel particulier sur le processus même de fortification, à travers les rudes conditions météorologiques et d’altitude qu’il engendre pour l’armée.  A l’inverse, cet exemple montre également la capacité plus ou moins…

  • Textes et résumés

    Montgalgan ; Montgargan ; Mont Gargan ; Montegargano ? et même Mont des Sarrasins !

    Par Lucienne Guillerme. Quand je fais visiter le musée de l’ADVI, je montre la photo du Montgalgan  où ont été trouvés les objets exposés évoquant l’occupation du mont dans l’antiquité; quand je présente la convergence des eaux à Moûtiers, j’indique qu’au sommet de ce mont, il est possible de surveiller les communications et je cite l’ouvrage d’André Puéjean qui explique que l’oppidum du Mont Galgan serait la véritable capitale des Ceutrons avant l’arrivée des Romains (p.23 dans les Alpes graies et poenines à l’époque romaine). Quand je lis l’Histoire de Moûtiers de J.P. Bergeri, je trouve une allusion au Montgargan « on a voulu nous affubler il y a quelques…